![alexandre-gonzalez]()
J’ai lu récemment dans un journal que la Confédération voulait un étiquetage montrant l’impact écologique des produits, en se basant sur leur cycle de vie, afin que les grands distributeurs se décident à établir un étiquetage vert. De prime abord, on ne peut que se réjouir de cette décision, même si je suis conscient que le premier danger serait de croire qu’il suffit de consommer des produits labellisés pour sauver la planète. Néanmoins, le label dispose au niveau communicationnel – tout comme les marques – d’un nom, d’un symbole, d’un pouvoir d’évocation et d’une signification qui lui est propre, à ceci près qu’il ne se rattache pas à une société ou un produit.